Oh, Gémeaux… vous avez l’impression que si vous ne vous déconnectez pas rapidement, vous allez exploser. Littéralement. Votre esprit s’emballe, votre corps le remarque, et votre énergie commence à montrer des signes d’épuisement sérieux. C’est pourquoi ce week-end, il est temps de prendre vos distances. Éloignez-vous de tout ce qui vous stresse, de tout ce qui vous fait mal, de tout ce que vous ne pouvez pas contrôler.
Il y a des choses qui échappent à votre contrôle. Vous le savez, mais vous persistez à trop réfléchir, à chercher des solutions là où il ne vous reste plus qu’à accepter. Gémeaux, vous devez savoir quand lâcher prise. Quand vous arrêter. Quand dire : « Je ne peux pas arranger ça, mais je peux me protéger. »
Et il ne s’agit pas de vivre dans l’ignorance ; ce n’est pas de cela qu’il s’agit. Il s’agit de comprendre que tout n’a pas de réponse, ni ne peut être réglé instantanément. Parfois, la seule vraie solution est de rester calme et de laisser la vie suivre son cours. Et croyez-moi : moins on force, mieux c’est.
Votre corps et votre esprit sont profondément liés. Si vous n’arrêtez pas de penser, vous en payez le prix physiquement. Vous vous crispez, vous vous bloquez, vous vous fermez. Et c’est grave. Alors ce week-end, reposez-vous vraiment. Faites des choses qui vous apaisent, pas des choses qui vous stimulent encore plus.
Et surtout, éloignez-vous des personnes négatives. Celles qui n’apportent que plaintes, problèmes et mauvaises ondes. Car si vous ne fixez pas de limites, elles vous entraîneront dans leur chute. Et pour l’instant, vous n’êtes pas en mesure d’absorber l’énergie de qui que ce soit. Vous en avez assez de la vôtre. Soyez clair. Pas de drame, pas de cris. Juste de la fermeté. Car si vous ne le faites pas vous-même, personne ne viendra protéger votre paix.
Et n’oubliez pas une chose importante : celui qui fait ce qu’il ressent n’a jamais tort. Réfléchissez bien, Gémeaux. Faites-vous ce que vous ressentez vraiment ? Ou vivez-vous selon ce qu’on attend de vous ? Cette fois, la solution, c’est vous. Mais calmement. Sans excès. Sans culpabilité. Bon week-end.